1. qui ne survient jamais après une fracture de la rotule : recurvatum sévère du
1.Complications
genou.
Rappel : les complications possibles sont,
signe histologique le plus caractéristique d’une ostéomalacie : hyperostéoïdose
2.Le
3.Signes radiologiques de la polyarthrite rhumatoïde : déminéralisation en bande, géodes sous-
chondrales…
4.Syndrome fémoro-rotulien : douleur à la descente des escaliers, tiroir antérieur, signe de
rabot, douleur à la station assise prolongée.
5.Le ligament acromio-coracoïdien ne fait pas partie de l’appareil capsulo-ligamentaire de
l’articulation acromio-claviculaire.
6.l’algodystrophie post-traumatique se rencontre même après un traumatisme minime ;
fréquemment chez les sujets anxieux
7.Les fractures de la rotule ne sont pas toujours des fractures articulaires
8.signe de Tinel : atteinte du nerf médian dans la syndrome du canal carpien
9.Il n’y a pas de déminéralisation sous-chondrale en cas de coxarthrose ; mais l’excentration de
la tête fémorale si.
10.La fracture de l’extrémité inférieure du radius : consolide souvent vicieusement
11.la neurapraxie signifie : sidération nerveuse
12.Image histologique caractéristique de l’ostéoporose : diminution du volume trabéculaire
osseux
13.lésions traumatiques le plus souvent responsables d’une atteinte du nerf circonflexe : fracture
du col de l’humérus et luxation antéro-interne de l’épaule
14.La compression d’un foyer de fracture de jambe : est une précontrainte que l’on réalise avec
des vis ou avec une plaque vissée ou avec un fixateur externe.
15.Signe radiologique ne faisant pas partie du rachitisme commun : épaississement périosté (au
contraire il existe un diminution)
16.Aspect lacunaire en « mie de pain » du crâne et de la face évoque fortement un
neuroblastome
17.Dans le cadre des syndromes canalaires par microtraumatismes, le nerf cubital est
préférentiellement atteint au niveau de : coude (gouttière épitrochiléo-olécrânienne).
18.La polyarthrite rhumatoïde survient de façon préférentielle sur les terrains HLA-DR4 et
jamais sur HLA-B27
19.La fracture récente du plateau tibial peut exiger les radiographies suivantes : incidences de
¾ ; incidence fémoro-patellaire ; un cliché en valgus forcé prudent
20.Au cours d’une tendinite simple du sus-épineux, on trouve une douleur à l’abduction
contrariée (et en antépulsion et rotation interne) mais il n’y a pas de limitation passive ou
active de l’abduction
21.Maladies qui peuvent simulées radiologiquement une PR débutante : hépatite B ; rubéole ;
maladie de Biermer
22.Au cours du syndrome du canal carpien (atteint du médian) la flexion du pouce reste
possible grâce au faisceau profond du court fléchisseur du pouce qui est innervé par le nerf
cubital.
23.Un panaris de la pulpe va diffuser préférentiellement : dans la gaine radiale des fléchisseurs.
24.Des métastases osseuses condensantes font suspecter en premier lieu : un cancer de la
prostate
25.Dans l’embolie graisseuse la scintigraphie est le plus souvent normal (micro-embols)
2. de l’extrémité supérieur du radius de l’adulte : limite l’extension du coude ; peut
26.fracture
être traitée par rééducation immédiate ; peut être traitée par résection de la tête radiale ; peut
entraîner une raideur de la prono-supination ;
27.Acte thérapeutique qui n’a pas sa place dans le traitement des arthrites septiques :
synoviorthèse isotopique (mais on peut traiter par arthrodèse et synovectomie).
28.L’évolution d’une fracture de la clavicule vers la pseudarthrose : se voit surtout après
traitement chirurgical
29.Image en taches de bougie sur la radiographie du bassin → métastase osseuse d’un cancer de
prostate
30.Deux principales complications a rechercher dans la spondylarthrite ankylosante : uvéite
antérieure et insuffisance aortique
31.Signes les fractures pertrochantériennes sont plus exposées dans leur évolution que les
fractures transcervicales au risque de : cal vicieux.
32.Une fracture du plateau tibial externe : comporte souvent un enfoncement, se manifeste
souvent par une hémarthrose, peut s’accompagner d’une paralysie du nerf sciatique poplité
externe.
33.Névralgie cervico-brachiale gagnant le bord interne du bras de l’avant bras et le 5 doigt peut
e
être due : à une hernie discale C7-D1 ; à une tumeur de l’apex pulmonaire
34.Élément anatomique dont la lésion favorise la luxation récidivante (le plus fréquent) :
bourrelet glénoïdien
35.Éventualité exceptionnelle dans les suites tardives d’une luxation antéro-interne de l’épaule :
nécrose de la tête humérale
36.Une vertèbre borgne (absence de pédicule) fait évoquer une métastase osseuse (métastases
ostéolytique : Kc du sein…).
37.Lésion du nerf circonflexe : impossibilité d’abduction active + anesthésie du moignon de
l’épaule
38.Le signe le plus caractéristique du phlegmon de la gaine des fléchisseurs du médius à un
stade de début : douleur dans le plis palmaire distal
39.La complication qui n’est pas commune à la polyarthrite rhumatoïde et à la pelvispondylite :
vascularite cutanée.
40.la rupture du ligament latéral externe de la cheville est caractérisé par : le bâillement tibio-
astragalien externe en varus forcé et le tiroir tibio-astragalien antérieur.
41.La fracture du trochiter est la complication la plus fréquente des lésions osseuses des
luxations antéro-internes de l’épaule.
42.La nécrose de la tête fémorale après fracture cervicale vraie du fémur : peut être due à un
retard thérapeutique et elle n’épargne aucune variété de la fracture
43.Métastase d’aspect d’une tumeur pulsatile (souffle) → thyroïde, rein !?
44.L’ecchymose brachio-thoracique de Hennequin est le témoin d’une fracture de l’humérus
45.Signes qui traduisent une lésion isolée du ligament croisé antérieur : signe de ressaut
rotatoire, recurvatum, signe de Lachman. (le recurvatum se voit si association à une lésion de
LCA et une atteinte d’un point d’angle au min).
46.la déformation tibiale la plus fréquemment en cause dans la genèse d’une gonarthrose
douloureuse est : en genu varum.
47.Parmi les cals vicieux suivants, quels est le déplacement qui ne se corrigera pas partiellement
ou totalement avec la croissance : la rotation (décalage).
48.En cas luxation antérieure du semi-lunaire la réduction doit être urgente parce que : le nerf
médian peut être comprimé ; risque de nécrose de semi-lunaire.
3. arthrite du genou évoluant depuis 6 mois sans aucune lésion radiologique doit faire
49.Une
évoquer : une tuberculose, une monoarthrite rhumatoïde (!).
50.la syndesmophyte peut s’observer : spondylarthrite ankylosante, rhumatisme psoriasique.
51.Le signe le plus évocateur de lésion méniscale est le blocage momentané de l’extension du
genou
52.Le signe de la sonnette : est un signe de douleur radiculaire (mais ne préjuge pas de la cause
de la souffrance radiculaire).
53.Le siège le plus évocateur de l’origine coxo-fémorale d’une douleur : le milieu du pli de
l’aine
54.Le blocage du genou peut se voir au cours : d’une lésion méniscale ; d’un corps étranger
intra-articulaire.
55.La luxation postérieure de la hanche avec fracture du cotyle peut être responsable de :
nécrose de la tête fémorale ; coxarthrose
56.Fracture Garden III : rupture du cintre cervico-obturateur ; une fermeture de l’angle cervico-
céphalique de face ; une visualisation plus nette du petit trochanter sur cliché de face
57.Affections responsables d’ostéonécrose de la tête fémorale : corticothérapie prolongée ;
maladie de Gaucher ; drépanocytose ; barotraumatisme.
58.La nécrose de la tête fémorale après fracture du col du fémur : est favorisée par une fracture à
grand déplacement ; favorisée par un trait de fracture intra-articulaire ; se manifeste après
plusieurs mois ou années.
59.Complications des fractures de la diaphyse humérale : paralysie du nerf radial ;
pseudarthrose
60.Deux repères pour mesurer l’angle d’une courbure scoliotique : bord supérieur de la vertèbre
neutre supérieure et le bord inférieur de la vertèbre neutre inférieure (vertèbre neutre : sans
rotation).
61.Au genou, un épanchement intra-articulaire abondant entraîne : un choc rotulien, une perte
de la flexion complète.
62.Le fuseau paravertébral est associé à une spondylodiscite dorsale
63.La pseudarthrose après une fracture du col du fémur : est favorisée par un trait de fracture
vertical
64.Les complications les plus fréquentes d’une fracture pertrochantériennes comportent : le cal
vicieux ; complications thrombo-emboliques (l’algodystrophie de la hanche → non).
65.Une luxation acromioclaviculaire est grave s’il existe une rupture de ligament :
coracoclaviculaire surtout (stade III) ; acromioclaviculaire (stade II).
66.Une fracture de la diaphyse fémorale au tiers moyen avant tout traitement : se présente avec
une déformation en crosse de la cuisse ; se présente avec une rotation externe du membre
inférieur ; peut entraîner par elle-même un choc hémorragique.
67.Le pronostic d’une fracture articulaire du genou au niveau du compartiment fémorotibiaux
dépend : de l’importance de la comminution postérieure
68.La polyarthrite rhumatoïde épargne généralement : rachis dorsal ; sacro-iliaque
69.Un signe radiologique n’appartient pas à la coxarthrose : décalcification diffuse de la tête
fémorale
70.Causes classiques de coxarthrose : la dysplasie luxante de la hanche ; ostéonécrose de la tête
fémorale ; protrusion acétabulaire (le genu valgum et non le genun varum).
71.Complications qui s’observent dans le purpura rhumatoïde : invagination intestinale ; crise
convulsive généralisé ; syndrome néphrotique
4. permettant d’affirmer qu’il s’agit bien d’une véritable scoliose : existence d’une
72.Éléments
gibbosité ; rotation des corps vertébraux ; no correction de la déformation en antéflexion
73.L’existence d’un hémarthrose après fracture de genou peut être due à : rupture du ligament
croisé antérieur, luxation de la rotule, fracture articulaire.
74.Luxation du rachis cervical C7-D1 : risque de ne pas être vue par des clichés standards
75.La règle de 9 de Wallace (brûlure) n’est pas appliquée à l’enfant ; l’hospitalisation doit être
large